Discrimination salariale : le jugement complet

Generali est condamnée à payer des dommages et intérêts pour discrimination salariale, à la résiliation judiciaire du contrat de travail et rappel de salaires. 

Voici la décision rendue par le Conseil de Prud’hommes de Nantes donnant raison à Chantal sur 3 points importants :

  • Discrimination salariale
  • Le paiement des jours de travail non payés suite à l’augmentation du temps de travail.
  • La résiliation judiciaire de son contrat de travail suite au refus de l’accord dit de performance collective.

Au total, Generali France doit payer plus de 280 000 € à Chantal, car son appel du jugement n’est pas suspensif.

Pour éviter d’autres jugements de ce type, nous invitons Generali à régler tous les cas de discrimination salariale.

Toujours en cours :

Suite à l’annulation de l’accord temps de travail de 2015, le paiement des jours de travail travaillés sans paie estimé à environ un demi-mois de salaire pour tous les salariés est toujours en attente d’un jugement (action juridique CGT).

Si les salariés doivent aller au tribunal pour réclamer justice, c’est dommageable pour l’image de Generali comme on peut le constater au vu des nombreux articles de presse parus à l’occasion de la décision prud’homale.

La CGT de Generali « fait le job » !